La sexologue 4: Stéréotype sexuel.
- Chloé Caramelle
- 9 juin 2019
- 5 min de lecture
Je pense que chaque partenaire qu'ils soit deux ou plus qui vivent un moment charnelle à l'unisson créée une sexualité qui lui est propre, mélangeant dégoûts, appréhensions, désirs et capacités personnelle mais aussi état mentale du moment, confiance en soit etc...
Chaque personne, à des barrières fixes,qu'elle sait pertinent qu'elle ne pourra jamais franchir comme la pédophilie par exemple et toutes les autres qui avancent et reculent au fil des années et qui dépendent d'une multitude de facteurs (partenaire, confiance, aptitude à encaisser etc...).
Ensuite, il faut différencier fantasmes réalisable et ceux qu'on garde au chaud dans la tête. Regarder un porno scat, pour prendre un exemple bien gras, ne veux pas dire qu'on aime chier sur les autres et qu'on veux en manger.
Pendant l'excitation sexuelle on bouillonne et on pense forcément à des pratiques plus particulière que celle de la vie de tous les jours. C'est la surenchères pour faire grimper la température jusqu'à dégouliner de tout son être.
Article doctissimo qui donne des premiers éléments de réflexions sur:
La distinction entre fantasme et déviance.
http://www.doctissimo.fr/sexualite/fantasmes/fantasme-perversion-paraphilie
Le dictionnaire des fantasmes et déviances:
http://www.doctissimo.fr/sexualite/fantasmes/dictionnaire-des-fantasmes-et-perversions
Un homme qui regarde des vidéos de pipe violente, ne veux pas dire qu'il est sexiste ou qu'il ne respecte pas les femmes, c'est juste qu'a ce moment précis l'esprit aime l'inavouable, le vulgaire et le crade, c'est ces sensations la qui vont provoquer des émotions confuses et paradoxales.
Une fois qu'on à fais le tri des fantasmes qui nous animent vraiment et ceux qui sont que mental, il est bon d'assumer auprès de soit même.
Dans un moment intime personne n'est la pour épier ce que l'ont fait, sauf malchance ou choisi. Pourquoi, avoir honte de quelque chose que personne d'autre que toi es censé savoir?
A par ton partenaire mais si tu en as honte, il y a des chances pour qu'il se taise comme toi.
Chaque personne à son petit plaisir plus honteux! du moment ou tous les partis sont consentant, que personne n'est mis en péril physique ou moral et que tout le monde respecte le contrat tacite ou écrit, il n'y au aucun mal.
Il est important pour chaque pratiques de respecter des étapes d'acceptations et savoir aussi quand il faut laisser tomber, une vie c'est long, il est toujours possible de s'y remettre plus tard c'est juste que ce n'est pas le bon moment tout les facteurs ne sont pas réuni. Il ne faut pas hésiter à avancer et reculer c'est ce qui permettra de la réaliser en mettant les meilleures chances de son côté
Une fois qu'on a l'esprit clair, il est temps de se renseigner sur les différentes possibilités et imaginer ce qui pourrait être, la façon de faire, qui nous sera le plus adéquate et confortable.
Le sexe est un jeu!
C'est entre la chasse aux trésors et le parcours du combattant, il ne te suffis pas d'avoir un corps d’athlète mais un mental. Il faut savoir compartimenter les choses. Par exemple, séparé les paroles dites à une soumise lors d'une séance BDSM et celle en dehors de la séance.
Il faut aussi accepter la déception et ne pas diabolisé ce qui l'a provoqué, dans la vie on es blindé de certitudes qui s’avère, finalement, ne pas être si certaine
Dans un couple, faire du BDSM quand on es en crise n'est par forcément judicieux, avec des nerfs à vif, des rancœurs et de la colère tout peut se mélanger et on ne saura pas faire la part des choses.
Si ton couple va bien, que tu as envie de te soumettre, on peut te violenter, t'insulter et t'humilier, tu arrive à jouer avec ton esprit pour qu'il soit, à un moment précis, abattu et te permettre de ressentir le plaisir et les émotions, qui fusent dans tout les sens, que ça suscite mais, une fois le jeu terminé, tu oublie.
Je refuse d'appartenir à une pratique, je ne veux pas oreillarde et passer à côté de partenaires avec qui le feeling et les envies communes peuvent être au top. J'aime me considérer de vanille à hard, je n'ai envie de me passer ni de l'autre, plus je m'ouvre, moins je m’ennuie, et plus je me sens bien dans ma peau. Une sexualité épanouie contribue à 50% de 'épanouissement et de la confiance en soit.
J'ai plus souvent croisé des gens à la sexualité dites "déviantes" épanouis que des personnes qui, part peur, honte, éducation, s’empêche de réaliser des choses. La frustration, le regret, c'est comme la jalousie c'est pas des sentiments qui poussent vers les autres mais plutôt des parasites qui enlève objectivité, ronge et empêche de réfléchir raisonnablement.
Dans un couple élargir les pratiques permet d'une part de trouver plus d'occasion de prendre plaisir ensemble mais aussi de ne pas tomber dans une routine, qui, avec les années est de plus en plus difficile à casser, on finis par s'éloigner.
Tout acte charnelle est un don d'amour partager, je peux seulement le branler ou le sucer lui sans chercher a en retirer un plaisir physique. Le principe de la baise c'est ce préoccuper en priorité de l'autre en espérant que lui pensera au tiens à certains moments. C'est le dévouement mutuel qui fait monter le plaisir.
En partant de se principe, une masturbation mutuel, ou pour un seul partenaire, un 69, un cunni, une fellation un chevauchement, suffit à lui seule pour dire que l'on à fait l'amour.
même si il n'y à qu'un coït, voir aucun ce n'est pas nul mais différent.
Sortons des schéma: bisous- préli- péné-coit.
Mon dernier point sensible, c'est ce qui concerne le principe de la fidélité. Je fais parti des personnes qui n'ont jamais vraiment compris se concept et ne l'ont jamais vraiment appliqué. J'ai longtemps était juger la dessus comme immoral et en plus on se donne le droit d'affirmer des choses sur l'authenticité de mes sentiments.
Je sépare dans ma vie, la fidélité sentimentale et charnelle, je trouve beaucoup plus difficile de dire je t'aime chaque jour à quelqu'un, que donné ma chatte au premier venu.
Tu peux être le plus fidèle des couples, si tu t'emmerde ça ne changera pas, par contre j'ai remarqué qu'a certains moments de ma vie amoureuse, voir du pays me permettais de rentrer ressourcer, je reprenais de l'estime et une dose de prétention.
Je ne veux pas dire que j'ai raison, je pense, encore qu'on ai juste tous différents. Dans mon couple avec Pedro nous avons des fonctionnement différents.
Je fais partie des filles qui resteront toujours libre, volage et l'assume (ce qui ne m'empêche pas non plus d’essayer au mieux. Il faut prendre que tout actes dans nos vies ont des répercussions sur l'entourage, prendre deux secondes pour y penser, permet de limiter les dégâts), quand à mon homme son côté introvertie, je pense, fait qu'il apporte beaucoup d'importance à la confiance qui leur porte avant de les approcher et il ne se voit pas avoir des coups d'un soir.
Tout les deux, nous nous sommes mis d'accord et nous avons juste accepté d'être différent, d'en parler longuement et de décider que l'essentiel est la santé du couple, et l'investissement.
Il y a tant de manniére d'aimer... L'amitié, la famille, la sympathie, la passion éphémère...rien que dans ses quelques catégorie y'a tout un panel de nuances, alors pourquoi pas l'Amour?
Quid des polyamoureux? Des polygames? Des Candaulismes? Des libertins? Des échangistes? ....
Aimer une personne c'est, aimer ses qualités certains de ses défauts et décider que c'est possible de cohabiter avec les autres, c'est être en permanence dans l'ajustement pour réussir à coordonnée deux personnalités différentes aux histoires contraires.
C'est décider, de pardonner parce que tout le reste est bien plus précieux.
Aimons comme on le ressent, avec l'idée qu'on s'en fait, en partant du principe que c'est que notre opinion, un parmi 7 milliards et arrêtons de vouloir que tout le monde soit lisse à la pensé similaire.
Article doctissimo qui donne des premiers éléments de reflexions sur: La distinction entre fantasme et déviance.
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