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Tête à tête Fétichiste.

Il arrive par derrière et me salut en me faisant bondir de surprise. Il s'installe en face de moi sur la terrasse du café. Je me sens honteuse même devant lui.


"-Comment allez-vous?

-Bien... Bien..!"


J'ai envie de partir en courant... A quel moment j'ai pu penser que ce serais un moment comme les autres? Je ne suis pas prête... Mon corps si mais pas mon mental.

Mal a l'aise, je lui parle très vite et en dérapant sur les 3/4 des mots.

Je me redresse le visage abattu, il est temps d'avoir cette discussion.


"Je suis fétichiste... Je vous un culte au latex... et toi qu'elle sont les matières qui te chamboulent?"


Je me renferme tête basse sans même attendre la phrase... Je suis si honteuse de devoir affronter ses désirs en moi qui prends possessions de moi. Je veux fuir comme je l'ai toujours fait. Je prends le temps de finir mes pensées avant de répondre sans effort, dans ma barde, les livre si crispé que je murmure.


"-Latex, culotte, collant, pied.

- Moi je ne vois que par le latex, rien ne peux me détourner."


Il me dit ça, une légère pointe de déception, au fond de sa voix, je me sens d'autant plus mal que mes désirs comprennent plusieurs déviance, j'ai l'impression de m'enfoncer un peu plus dans mon siège, l'esprit négatif, apeuré de devoir prendre le taureau par les cornes et affronté son vice.


"-je suis obsédée par les pieds, le latex, les culottes et collant..."


Je stoppe ma phrase avant le gueuler dessus, vexée d'avoir du lui dire c'est mot la à voix haute alors qu'elle faisait tout ne même pas oser aligné ses mots dans sa tête.


"-Laisse toi aller au bonheur et assume! je ne ressent aucune honte à que je me sens comme le petits garçon de primaire devant ses cadeaux de noël des que j'enfile une paire. Les doigts écarté, j'ondule des mains les yeux grand ouvert et dilaté, je les regardes, les sent. lorsque j'ai pas eu de rapport j'ai parfois les coins de la bouche mouillé. Une fois mes yeux habitué à la beauté de mes mains, j'avance un doigts après l'autre vers mes lèvres pour le sucer longuement et délicatement. Le contacte avec langue me bouleverse les entrailles très fort que je passe un temps fou pour arriver au dernier. C'est à ce moment que le moment crucial arrive, je tiens ma queue des deux mains et astique ma verge en veillant à les entendre frotter entre ma verge et mes paumes. Je secoue tout mon corps au rythme de la matière, son contacte avec ma bite sous tension provoque des tsunami en moi qui me renverse en arrière et me font tomber quand je prend pas le temps de me poser devant un siège. je balance ma sauce sur le plastique, les yeux avides et le spectacle provoque souvent en moi un deuxième coït immédiat.

-Que ressent tu?

-Comme l’assouvie se besoin devant mes partenaires, j'ai le désirs de plaire, de faire tellement fort qu'il sera sans voix. Qu'il verra en moi, un plaisir si fort qu'il deviendra mon complice et l’énergie animal de mes obsession qu'il ne pourra que me désirer.

-Tu n'as jamais été déçu? N'as tu jamais ressentie de la pitié et du dégoût dans leurs yeux?

- Je pense comme tout le monde dans sa vie sexuelle...

-Face à sa que fais tu? qu'elle est ta réaction? Tu ne baisse pas les bras et essaie d'inverser la dynamique?

-Je persiste à croire en moi, je sais pertinent que je n'ai aucun problème, que je ne suis pas déviant. J'ai juste la chance d'être conscient que tout le monde à ces petits vice! Je sais aussi que cela ne concerne que moi et personne d'autre!

-Tu as réussie à sortir de la spiral infernal et tu assume qui tu es sans te cacher derrière tes aires détaché?*

-J'ai décidé que j'avais clairement le droit d'être heureux comme je l'entends, j'ai commencé par réfléchir à ce qui animait mon cerveau, mon corps et ma queue pour l'apprivoiser et reprendre le dessus. Après un moment de demie auto persuasion j'ai finis par lâcher et assumé sans aucune retenue devant toutes personne prés de moi quand l'occasion se prête à ses confidence.

-Je ne suis plus dans le dénie depuis peux, mais je me refuse encore d'en parler ou même de succomber à la tentation...

-Les clefs du bonheur sont devant toi... Ton mal être ne tiens que de toi!"


Sur cette phrase l'homme se lève sans un mot et s'en va en me serrant l'épaule une dernière fois. Je suis perturbé, en colère, mal, j'ai la nausée... Pourtant tout au fond de moi j'ai une léger sentiment d'apaisement et je peux ressentir la très faible énergie positive et se prépare à prendre possession de moi et détruire le moindre soupçon de mon marasme qui m'inondais depuis des années.

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