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Promenons nous dans les bois...

Juliette nous raconte une balade dans les bois avec Maître Valentin.




Je me balade avec mon maître Val qui, pour une fois, m'a empruntée à Suzon pour une promenade canine dans un petit bois prés d'un domaine complètement isolé.

Quand nous sortons de la voiture j’enlève mon grand manteau et je suis en combinaison de latex ouverte entre mes jambes et au niveau de mes mamelles.

J'enfile ma cagoule de chienne et je me pose sur mes pattes, au premier buisson je lève ma patte et je fais pipi, le jet d'abord vif gicle sur les feuilles mais ensuite le petit filet me coule dans la combinaison trop moulante.

Valentin est un peu plus loin, il a du trouver quelque chose, je sais que ce n'est pas bon signe pour moi. Je le rejoins d'un pas hésitant et la je vois le buisson d'ortie, merde!

Je vais souffrir! Il me demande de tendre mon trou de balle et de bien attraper chacune de mes fesses pour libérer le trajet. Je tremble, je connais très bien, pour me punir, Suzon m'en à mis dans le fond de la culotte pendant 24h et renouvelé régulièrement. Il plante la mauvaise herbe dans mon cul et tasse tout dedans. La douleur est atroce, je hurle, des grosses larmes coulent sur mes joues. Je n'arrive pas à me calmer, je suis complètement hystérique. Je me dandine dans tous les sens, je ne subit pas en silence et comme je dois m'y attendre ce n'est pas un bon comportement, je me prends une gifles qui me renverse la gueule. L'effet est instantané, je force sur mes lèvres pour ne pas sortir un son. Il me hurle dessus, je ne suis qu'une petite chiure de mouette, je mériterais de subir les pires douleurs. Je suis vexée, en colère contre moi, je suis même pas capable de me montrer digne de sa confiance. Il a le regard fou, pour me faire encore plus de mal il me propose de jouer à la balle, ce qui veut dire courir avec l'incendie qu'il y a dans le fond de mon colon. Je suis coincée, je ne peux pas refuser. C'est une question piège, après la déception d'il y a quelques minutes je peux quand même pas tenter de ne pas le contenter.

Il me lance la balle plus de dix fois, je suis obligée de montrer à Val que je fais de mon mieux et que je suis concentrée sur notre jeu mais dans mon trou de balle j'ai une sensation de lave en fusion.

Au retour, l'ambiance est moins mauvaise, il m'a assez fait souffrir, je pense être laver de mon insolence. Je suis soulagée et sereine, quand tout à coup, je croise son regard, l'éclair sadique est revenu au fond de sa pupille.

Que va t'il m'arriver de nouveau? Je pensé que je m'étais fait pardonner pour mon manque de courage? Je le vois arracher de grandes ronces, je deviens blanche.

Je me mords la langue, je ne sourcille pas quand il entoure les branches autour de ma taille et passe un bout entre mes jambes pour en faire une culotte.

Je resterais ainsi jusqu'à ce qu'il décide que c'était l'heure de la douche.

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