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Shibari circassien

22h30: Chapiteau d’entraînement du cirque RoulTaboul.

Flore, trapéziste, passe ses hivers au Ventou, son école de cirque, puis à partir de mai elle repart en tournée pour l'été.

Elle retourne au chapiteau d’entraînement, en milieu de soirée pour décompresser d'une journée avec un groupe scolaire particulièrement agité.

C'est enfin son moment, elle peut prendre un peu de temps à la préparation du numéro pour ses représentations estivales.

Comme toujours à cette heure, il n'y a plus personne, ainsi elle peut s’entraîner dans sa tenue préférée, sans s'exhiber, juste une culotte.

Elle commence ses acrobaties sur un cerceau, enchaîne les figures avec fluidité.

Elle prend un plaisir fou pendant ce moment, elle se sent libre. Elle décide de prendre une pause au bout d'une petite heure, et s'assoie sur la piste, jambes étendues.

"_Flore-Anne? Désolé, je ne savais pas que tu étais la..."

Elle se lève d'un bon, les bras croisés sur sa poitrine, les joues écarlates. Elle voit Julien, le funambule, un beau trentenaire à la peau dorée et bien bronzée, des yeux vert et un air d'ado malicieux. Elle craque sur lui depuis au moins deux ans, mais il vient juste de se séparer de sa copine. Elle voit ses yeux la dévisager, un coup regard sur son ventre archi plat et un sur ses longues jambes. Que va t'il penser d'elle?

"_Tu as déjà entendu parler du Shibari? _Vaguement... C'est le truc avec les cordes c'est ça?"

Il lui explique qu'il vient de s'y mettre par curiosité, mais que maintenant il n'a plus de partenaire.Elle est toujours dans le plus simple appareil, alors qu'il lui donne des explications sur cette discipline, il veux savoir si je elle est intéressée par un essai. *

Elle reste abasourdie, timide et pudique, théoriquement c'est au dessus de ses forces, à coté de ça, elle voit la, un bon moyen de se rapprocher de lui, ellz accepte donc la proposition.

Ils conviennent d'une premiére séance le lendemain dans un chapiteau un peu plus isolé.

22h: Chapiteau commun du cirque RoulTaboul.

Julien mange une pomme assit sur un strapontin, lorsqu'elle le rejoint. Avant qu'il ne la voit, elle fait une pause pour savourer quelques secondes en le regardent.

Elle va s'asseoir prés de lui pour connaître le programme de cette initiation.

"_ Flore-Anne, Aujourd'hui avec mon ex nous devons travailler une photo pour un magasine. Je ne pensais pas commencer par celle-ci, elle est assez osée. Je ne peux pas faire autrement, je suis désolé. Tu peux te mettre nue, s'il te plaît?"

Elle est sous le choc, elle ne s'attendait pas à cela, pensait mettre au moins un juste-corps. Il voit sa tête apeurée et lui demande, d'une voix douce, de lui faire confiance. Elle est amoureuse de Julien depuis deux ans, ne veux pas rater la chance de se rapprocher de lui. Elle est prête à lui dire oui pour tout. Elle est en admiration devant lui, il lui fait perdre tout mes moyens, l'a dans la peau.

Elle est au milieu de la piste, debout, enlève ses vêtements, cherche vaguement un endroit pour se changer puis, réalise qu'en faite elle va rester nue, et ôte sa culotte , Julien est sorti du chapiteau, elle attend, gênée. Elle ne sait plus trop ou se mettre en tenue d'Eve.

Julien revient avec une grande caisse, l'ouvre devant elle.

Elle découvre un énorme tas de cordes, quelques menottes et aperçoit, honteusement,  au fond de la caisse quelques sextoy.

il commence par son buste, il place une corde dans son dos, puis sous ses seins.

Il fait une sorte de tressage pour ligoter ses bras tendus dans le dos. Arrivé aux aisselles, il enroule la corde sur le haut de son buste en passant sous ses bras et au dessus de ses seins.

Après quelques tours, il ne passe plus les liens sur sa poitrine mais dans sa nuque, tel un col V .

Elle se sent perdue dans ses sensations, elle qui a une sexualité très basique, ne comprends pas son plaisir. Elle frissonne quand il l'observe.

Il suit la corde très attentivement, ses petits yeux sont plissés, il est concentré, il trace une route sur son corps. Il profite de la douceur de sa peau qui effleure de ses doigts poseur de cordes . Lorsqu'elle sent les liens se resserrer, une onde diffuse la sensation dans tout son corps et sa peau entre en érection, elle devient hyper sensible et  ses tripes font des bons. Il ouvre son sexe.

Elle sent une boule de chaleur descendre au niveau de son bassin et de la région pubienne.

Les premières coulées de mouille vont, bientôt, pointer leur nez... Il fait le dernier nœud au milieu de l'encordage de ses bras tendu, et il laisse quelques longueurs de cordes pendre.

Julien prend du recule pour admirer son œuvre, son corps bouillonne à l'idée d'être mater nu, entrain de faire des trucs bizarre. Il prend le temps de regarder si il n'a pas bâclé un nœud, il tourne autour de moi, tire, à certains endroit, pour vérifier les différentes tensions. Il se rapproche, de moi, me fais tourner. Toute ces exhibitions on eu raison de mon minou, il est mouillé. Mes lèvres fermées ne sont pas encore grande ouverte, mais tout de même baillante. Ma foufoune hirsute, est brillante de goutte gluante. Je sens mon antre bouillonner. J'ai tellement envie de lui, que ma minette en est douloureuse. Je suis dans une situation tellement gênante, dégoulinante de désir alors que ce n'est pas réciproque. Je sais d'avance que ce soir je serais frustrée et dans l'obligation de me masturber. Il est stoïque, très concentré, il ne dit pas un mot, j'ai même l'impression d'être invisible.

Il attrape une seconde corde et lui demander de s'allonger sur le dos. il saisit une premiére jambe, elle le vois commencer à lier ses chevilles.

Il fait plusieurs tours et des premiers nœuds.

Il continu son œuvre en repliant sa jambe sur elle même, et fait passer une longueur de corde d'un coté à l'autre, de sa cheville, en passant par le haut de la rotule et continuer derrière.

Elle ne peut pas bien analyser ce qu'il lui fait au vu de sa nouvelle position mais elle comprend qu'il lui ligote le mollet et la cuisse ensemble comme un rôti. Pendant ce temps la, sa chatte, et à moitie ouverte. Elle essai, tant que possible; de la cacher en serrant la jambe encore libre.

Julien écarte la deuxième guibolle, elle ne connaissait pas se mélange de honte et d'excitation sexuel, elle se sent frivole. Nue, dans un chapiteau, avec un collègue, et complètement désinhibée.

Il attrape une dernière corde et réitère la même opération sur l'autre jambe.

"Maintenant je vais te suspendre aux poulies au dessus de toi, n'ai pas peur, fais moi confiance."

Il attrape les 3 longueurs de cordage, qu'il a laissé à chaque bondage pour les nouer ensemble, et les fixe à un des crochets à poulie  qu'elle voit au dessus d'elle. Puis il tire, le crochet et elle fini par s’élever à quelques dizaine de cm du sol.

il s’arrête lorsqu’elle est en position accroupie, ses pieds ne touchent plus le sol. Elle panique en se rendant compte que sa chatte grande ouverte est à la vue de tous, face à une baie vitrée. Elle n'ose pas lui parler de ma gène, il est si sérieux qu'elle se sent comme une petite fille obéissante.

Il va chercher une bougie sur un des buffets de la pièce, il l'allume et la pose sous elle. Elle peut sentir une chaleur pile à la bonne limite, le juste équilibre entre dépassement, douleur et chaleur de bonheur.

Il lui annonce que la flamme est à quelques cm de ma touffe. Il prends du recule une dernière fois pour vérifier que tout est en ordre

"Je dois décaler la bougie sinon tu vas l'éteindre, avec ton filet de jus!"

Son sang fait qu'un tour, elle a le réflexe d'essayer de se sortir de cette situation en gigotant, mauvaise idée, les liens se resserrent, et les cordes bougent d'une façon qui l'incommode.

Il met sa main sur sa joue, d'une voix grave et douce.

Il lui demande d'être mignonne et obéissante.

Raide dingue de lui, ravie d'être le centre son attention, elle s’efforce de se calmer immédiatement pour le rendre fier.

"Je vais faire quelques photos de toi, je suis plutôt content de mon travail sur toi!"

Pendant qu'il la shoot, elle essai de calmer son vagin, sent des glaires se frayer un chemin hors d'elle.

Elle ferme les yeux et respire longuement. Inspire pour tasser le feu en elle et expire pour évacuer la pression.

Elle n'a jamais ressenti cette envie presque bestial... Canine... de baiser.

Elle est dans l'inconnu  le concernant, ne sais toujours pas ses projets après le photo shoot.

Sa concentration et sa sévérité ne lui donne aucun indice sur sa libido.

"Je sais que tu pensais juste faire des photos mais en faite j'ai un tout autre programme pour toi."

Tout ses muscles tressautent à cette annonce, elle n'ose pas y croire...

Il range son matériel avec soin en prenant son temps, elle a envi de lui gueuler de la tringler, encore beaucoup trop timide, elle n'ose pas passer à l'action.

D'un seul coup tout devient noir, elle sent qu'on serre quelque chose dans ses cheveux et comprend que c'est un bandeau pour les yeux.

Elle n'a plus aucun repère, il lui laisse quelques minutes, de répit, pour retrouver ses esprits. Elle l'entend lui ordonner d'ouvrir la bouche, elle ne comprends pas de suite, il le lui répète brutalement en lui flanquant une raclée sur la fesse. Elle ouvre la bouche et sent qu'on y entre une boule et devine un bâillon boule.

"Petite pute, je vais te dresser, tu vas certainement souffrir, te sentir merdique et tu auras bien raison!"

D'un seul coup Flore sent une aiguille transpercer son téton, elle veut hurler mais avale sa salive de travers, elle veut se libérer, gigote, dans tout les sen.

Elle est paniquée.

"Tu me veux? Tu crois que je ne l'ai jamais remarqué?"

Elle stop tout mouvement, n'ose croire ce qu'elle a entendu.

Elle a tellement imaginé ce moment la, ou ils s'enflammeraient ensemble mais n'imaginait pas ça ainsi... C'est encore mieux!

"_Si tu veux être avec moi, je ne suis pas contre mais tu dois être ma soumise et te plier à tout mes désirs. C'est à prendre ou à laisser..."

Elle hoche la tête sans réfléchir, il n'imagine pas une seule seconde à qu'elle point, elle est dingue de lui.

Il lui explique, qu'il vient de lui poser un anneau sur le téton, demain, il lui fait le 2eme.


Aujourd'hui c'est une séance test. Il la confronte à un échantillon de ses pratiques pour évaluer mon niveau de tolérance.

" Dans ma main j'ai une tapette en fer électrique, je vais frapper ton sexe et tu secoue la tête quand c'est insupportable."


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