top of page
  • generic-social-link

Samia témoigne sur son gang bang en cave.

Je m'appelle Samia j'ai 24 ans j'habite dans une cité d’Ales et je suis de confessions musulmanes pratiquante. J'habite chez mes parents jusqu'à mon mariage. J'ai un petit frére de 18 ans nommé Mounir. Une nuit j'ai piqué son téléphone pour avoir les numéros de 4 de ses potes et je leur ai écris.


Messieurs, je suis une jeune femme de nature salope, j'aimerais un gang bang dans une cave. Je vous attends demain soir 23h dans la cave du bâtiment B de le résidence beau soleil. Vous ne verrez pas mon visage couvert d'un cagoule trouée seulement à la bouche.


J'ai reçu 4 ok.


Je me suis habillée direct dans la cave, j'ai enfilé un uniforme d’écolière, je devais assez m'imposer pour les guider tout en restant soumise. Je les attend à genoux, cagoule sur la tête, a l’affût du moindre son.


"J'aimerais vous sucer tous les 4 autour de moi."


je sens leurs présence se positionner prés de moi.


"Les gars c'est Samia la sœur à Mounir, je reconnais sa voix!"


Je me liquéfie, je sens le sang monter à ma tête, c'est trop tard de toute façon je garde mon rôle...Je ne pipe pas mots.


"De toute façon elle est trop bonne, on dis rien et puis voila..."


Je suis soulagée, je suce le cœur plus léger, 3 circoncit et 1 prépuces, deux lisses et deux poilu... J'adore le quatuor.


"Fouille ma sacoche Mohammed et prends les capotes féminines pour mes deux trous, les menottes pour mes chevilles et mes poignets et les gants de latex pour vos mains."


Je continue les coups de langues le temps qu'il attrape tout et reprends.


"Un de vous mets les menottes, un les capotes et un troisième me fait lécher le fond de son caleçon, le 4eme filme avec mon téléphone."


les trois enfilent les gants, Vincent prend mon téléphone puis Nordine commence à enfoncer une par une les capotes dans chacun de mes trous sans aucun tact, ni douceur. ensuite Ahmed menotte mes bras dans mon dos et mes chevilles entre elles, enfin Mohammed colle son slip sur mon museau en maintenant ma tête... IL pu... J'aime. Je les laisse contempler la scéne.


"Vincent, approche toi et humilie moi par le verbe et par les gestes. Crache, gifle, insulte, défoule toi et passe le relais. Ne prenez pas de pincette je veux être une merde."


Ils passent à tour de rôle, détruisent mon amour propre, piétine ma dignité et m'arrache de mon cœur ma fierté. Pour des novices ils sont parfait je les soupçonne de regarder ce genre de porno.


Pour finir je leur demande de boucher deux par deux mes trous jusqu'à l'orgasme, ils se soulage tous en moins de 5 minutes, mais ils pilonnent comme des fous. Les capotes pleine je rentre chez moi et me masturbes en les léchant. Au moment du coït, mon père entre dans la chambre, comprends le manège et me donne une gifle monumentale.

Comentários


bottom of page