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Le passé de femme mariée de Suzon

Dernière mise à jour : 9 août 2019

Lorsque j'étais mariée, bien avant Juliette et Valentin...extrait de mon journal intime.


Une fois par mois, je vais dans l'atelier d'une amie artiste reconnue, faire une journée de nus pornographique avec quelques autres amis et ensuite, nous passons la nuit ensemble.

Depuis une décennie, on gratte nos chevalets au grès des candidats.

Nous nous réunissons dans le centre de Paris pour une soirée bourgeoise et coquine.

Nous sommes 6, 2 femmes et 4 hommes, amis depuis les louveteaux, chez les scouts. Nous avons grandi ensemble et découvert nos premiers émois sexuel. Après le bac nous nous sommes tous inscrits dans écoles Parisienne et on s'est installé dans une grande coloc ensemble.

Nos parents étaient tous rassurés de voir habiter ensemble leurs tout jeunes oisillons, loin de se douter qu’après seulement 1 mois nous couchions tous les uns avec les autres.

Nous avons vécu 3 ans ainsi puis on à acté ce rendez vous mensuel et fait chacun nos vies de notre côtés.

Il y a Laurence, notre hôte qui est mariée à Roger, il est présent sur les lieux mais ne participe pas, il vaque à ses occupations de médecin à la retraite. Il a 30 ans de plus qu'elle, libertin dans l'âme, ils vivent une relation tendrement débauchée.

Il y a Martin, notre pilote de ligne beau gosse, coureur de jupon.

Carl, un homme marié père de 5 enfants, visiteur médical.

Quentin, pharmacien à Paris, en concubinage avec sa deuxième compagne une jeune libanaise carriériste.

Pour finir, il y à Cédric un chef d'entreprise brillant fiancé à une jeune mannequin de 25 ans.


C'est Laurence qui nous à lancé dans l'art pornographique à la fac et on s'est pris au jeux, comme un sas de décompression 24h par mois.


L'atelier est magnifique, pleins de baies vitrées et de drapés blanc qui les recouvrirent les menuiseries grossièrement. Des canapés, des tabourets et des poufs éparpillés dans tout les sens.

Devant la grande verrière, une estrade pour nos modèles, exposés, devant une magnifique vue sur Paris. Leur appartement était au dernier étage d'un immeuble cossu des beaux quartiers.

Nos espaces de créations personnels sont comme d'habitude préparés avec soins par notre Laurence.

Je la soumet et je domine les autres sans pour autant les avoir à mon pouvoir, entre les mecs il y a une hiérarchie et je choisis celui ou ceux que j'ai envie de voir prendre en main ma chienne.


Nous prenons le temps d'un brunch, nous nous rejoignons vers 9h le matin, jusqu'au lendemain 9h. Nous sommes bien habillé tout en blanc, nos deux robes légèrement transparentes et laissant deviner nos nudités en dessous. Le mari se joint à nous, ils nous montrent les photos de ses vacances avec deux petites niçoises célibataires. J'adore ce lieu de sexualité paisible et sans retenue, je me sens bien. il finit par nous laisser à l'arrivé de son prof de yoga, un jeune bi curieux de 22 ans qui enchaîne les positions en sodomisant notre retraité jovial.


Nous nous déshabillons une fois repus, et nous préparons pour l'arrivé de notre modèle. Nous enlevons nos vêtements pour dessiner librement dans le plus simple appareil. Nous allons dans notre placards à jouets sexuel pour récupérer nos paires de boules de geisha vibrante pour boucher chacun de nos trous et on mélange les télécommandes pour répartir aléatoirement le contrôle de chacun de nous.


Pendant que nous l'attendons les hommes se masturbent naturellement en regardant Laurence dévorer mes pieds. Elle lèche la semelle de mes talons aiguilles, allongée sur le parquets et je lui crachais au visage.


Notre bel homme muse arrive enfin, il se prépare avant de débarqué dans l'atelier ou il doit d'abord se présenter et le matériel qu'il à choisit d’utiliser.

Il est magnifique, grand, musclé, jeune, brun, aux yeux vert et métissé.


"Je m'appel David, je suis franco-israélien, j'ai 19 ans et je suis étudiant à la fac de sport, je suis hétéro mais j'avoue avoir un faible pour la dilatation anal extrem dans mes plaisirs solitaire."


Il sort un énorme gode, 40cm de haut, 10 de large, en forme de gros pénis veineux, il le pose sur un tabouret réglable installé sur l'estrade.


"Dos à vous, je vais m'empaler sur cet engin..."


Et en effet, il s’exécute. Top chrono, 30 minutes, avant la première pause. Je griffonne mon papier avec mon fusain, je ne sais qui commande mes trous mais il met l'active en vitesse max non stop. Nous avons pas le droit de jouir ni de faire de bruit, c'est notre règle. David par contre ne se gêne pas et multiplie les coïts anal. Il enchaîne les poses jusqu'à midi leur de son départ. Nous devons continuer de dessiner l’après-midi mais entre nous. Ce jeune homme me plaisait beaucoup, je l'ai interpellé avant qu'il s'en aille pour lui proposer d'être mon invité.


Entre nous il se passait quelques choses, une attraction particulière. Il accepte sans hésiter. Toute l’après-midi, nous nous bouffons du regard sans s'approcher. Je m'occupe de Laurence et Martin en les dessinant dans un bondage lié.

David se fait malmener entraver à des barres au plafond, par mes 3 hommes comparses qui le photographient entrain de subir.


Vers 18h, nous nous préparons pour nous rendre dans une soirée dans le marais, ou nous sommes exposé dans un club très privé ou nous avons eu nos habitudes lors de nos études.

David m'approché une première fois dans les lieux, je tiens Laurence, fringuée d'une tenue de cuir moulante et trouée aux zone intime, d'une bout d'une chaînette argenté relié à son collier de chienne. Elle a la bouche entravée par un écarteur de bouché et bave comme une hyenne.

Je suis vêtue d'une combinaison résille et de talons aiguilles. Ma crinière brune détaché et maquillé de manière subtile et sexy.

Il s'approche de moi, il n'a pas l'air sur la défensive, il est très à l'aise. Moi si dominante je le laisse légèrement prendre le dessus.


"Chère Suzon, je ne me soumettrais pas à vous, mais soumettrais avec vous un des hommes au milieu de la foule. Ensuite, tous les deux nous irons dans les toilettes ou vous m'attendrais ballonnée les yeux bandés. Je vous baiserais, comme une chienne, au dessus des toilettes. Vous savez comme moi, que notre attirance est ainsi, surprenante et unique."


J'ai laissé faire, le regard hypnotisé par le sien. Nous avons demandé l'attention du public et pris place sur un podium pour expliquer le show. Je le laisse annoncer.


"Mesdames, Messieurs, je vous pries d’apprécier le show que la belle Suzon et moi vous avons concocté. Martin va être notre cobaye pour une séances de Foot fétiche. Nous allons, Suzon et moi enfiler une capote à nos pieds, les enduire de lub. Pendant que Madame jouera avec son fion, je m'occuperais de son museau."


Nous tenons promesse une heure durant, devant le public adepte de soirées libertine, les flash dans tous les sens, pour leur collection perso. Je fais mon job, mais je suis concentré par ma mission d’après. J'ai envie de se moment bref de soumission cachée.


Je descend du podium et fonce aux chiottes, je l'attends appuyée à une pissotière, les yeux bandé par un des bas d'une convives trouvé par terre et je me bâillonne avec le string gluant de Martin. Je l'entends entrer, il attrape mes épaules, me tourne dos à lit et appui sur moi pour me faire agenouiller. Je suis pile à la hauteur de la coupelle de pisse, il appui sur ma tête pour la plonger dedans et baisse son autre bras musclé sous mon ventre pour contrôler l'angle de mon fion. J'ai la bouche collée à la grille d'évacuation des urines, c'est très odorant. Il me lime le colon pendant un cours moment intense.

Au moment de jouir, il relève ma tête, jute sur la grille et me replonge dedans, je lèche.

Il s’éclipse sans un mot et je le vois continuer la soirée avec un couple gay sadique. Personne ne c'est rendu compte de rien.


Nous rentrons à 23h, nous grignotons des fraises, en buvant des flûtes de champagnes, chaque fruits et frottées aux parois du minous de Laurence écartelé par un spéculum. Elle est allongé sur la grande table de bois et ligoté au 4 angles. Elle tient dans sa bouche, le plus droitement possible, une grosse bougie allumée. Sur un des grands murs haut de plafond du salon, et projeté des films porno sélectionné par chacun.

Je suis avachie dans le canapé, Carl et Quentin me broute le minou pendant qu'ils se font branler par leurs amis.

Nous continuons la nuit jusqu’à nous endormir emmêlé.


Avant de partir je demande à chaque mâle de me lécher le cul et a Laurence de me lécher le minou et je rentre baveuse à la maison.

Des la seuil de chez moi passé je bondis sur la teub de mon mari et le suce.

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