Première Exhibition d'Alexandra.*

Parc de mon adolescence, avec une connaissance de longue date, environ 00h. Nous rentrons d'une soirée Jason et moi, je le raccompagne un bout de chemin et on s’arrête dans l'air de jeux déserte. Il fait chaud, très chaud, je ne porte qu'un débardeur laissant mes gros seins danser sous le tissus, et un mini short sans culotte. C'est une chaude nuit d'été dans le sud de la France. On discute de nos sexualités respective, quand tout à coup, il me demande d'enlever mon débardeur et mon short. Il ne se doute pas un instant que je vais me retrouver entièrement nue, pensant que j'ai, au moins, une culotte. Je suis en panique, honteuse. J’hésite, je joue un peu au midinette, je gagne du temps en lui laissant croire que je n'ai rien entendu. Je le fais répéter pour être sur de sa demande. "Debout face à moi, retire ton haut et ton short ma belle!" Je me lève, je suis figée. Je reste quelques secondes sans rien faire, ma timidité face au mâle, surgit. Je reprend le dessus sur mes émotions, je n'ai pas envie de louper une première occasion de m'exhiber. Je passe un bras dans mon T-Shirt quand deux petites racailles apparaissent, rap de cité à fond, craché par une petite enceinte que l'un deux tient dans sa main. Ils montent la pelouse en se prenant notre direction, je les regarde interdite, je suis persuadée qu'il gâche mon exhibition. Ils se posent sur le banc derrière nous. Les deux petits jeunes cherchent juste a se cacher pour fumer leurs joint à l’abri du regard de leurs parents. "Continue, ne t'arrête pas, je suis sur qu'eux aussi seraient ravie d'assister au spectacle!" Il dit ça d'une voix haute pour se faire entendre des deux jeunes derrière lui, je peux deviner leurs têtes orientées vers moi. Ils regardent la scène de loin. Ils ne bronchent, ni ne s'agitent... Ils sont présent mais restent discret. Je passe mon deuxième bras dans mon top, mon ventre apparaît puis la rondeur basse de mes nichons, mes tétons et enfin je jette le vêtement sur la pelouse. Je marque une pause, j'observe les 3 mecs... Ils sont concentrés... Je sens une brise tiède faire bondir mes tétons, ils bandent joyeusement, ils dégagent une sensation de picotement, j'ai l'impression qu'ils crient leurs impatiences. Je déboutonne mon short et ondule pour le laisser glisser jusqu'à mes chevilles. La brise envahit à la seconde mon entre jambe, je sent mon duvet ratiboisé se redresser. J'ai la chaire de poule ! "Elle a sont abricot dévoilé la cochonne!" Je me sens rougir, mes joues chauffent. Je sens mon corps lubrique fière d'être nue et aguicheuse, mon esprit me maudit de passer pour une fille facile. Mon cœur tambourine dans ma poitrine, j'ai l'impression d'un creux au fond de mon bide. Je sens des fourmis dans mes dents et une sensation de vertige du à un trop plein d'excitation. Mon corps chancelle, je suis dans les vapes. "A genoux et reste en position!" Prise d'étourdissement sexuel, je m'écroule, sur mes rotules calleuses, à même la pelouse. Sa demande tombe à pic je n'aurais su tenir debout plus longtemps. J’attends une heure, avant de pouvoir me rhabiller, des bouts de brins d'herbes me chatouillent la vulve, j'essaie de garder la face. « Tu crois vraiment que je vais un tant soit peu te contenter ? Tu rêve ! Je veux juste te mettre à fleur de peau, te rendre fou de désir et te frustrer, te laisser rentrer chez toi bredouille, les nerfs à vifs, obnubilé par l'envie de te soulager des que tu seras chez toi ! Rhabille toi et casse toi ! » Je m’exécute, Tout le long de mon trajet jusqu'à chez moi, mon sexe me fait mal, je ressens des crampes. Je suis parfois obliger de déhancher mon bassin sur le côté tout en serrant les cuisses pour apaiser la douleur. Je suis en colère, humiliée. Je viens de prendre un coup dans ma fierté, je repasse la scène dans ma tête, je me sens bête de l'avoir laissé me prendre pour une conne. Dans un murmure au fond de ma tête une petite voix me chante de me branler comme une chienne en rut sur mon canapé !