top of page

Mon histoire Gay*

Dernière mise à jour : 9 juil. 2019

Salut Demetra,


Je m’appelle George, j’ai 19 ans et je suis étudiant en deuxième années de médecine. Chaque mardi, je suis les cours de gynécologie de Mr Lannoy, un quinquagénaire bien entretenu que je regarde toujours avec beaucoup d’admiration. A la fin du cours d’hier, il m'a demandé de rester à la fin du cours pour m'entretenir avec lui. M. Vincent, je suis très inquiet de votre dernière note, elle fait chuter votre moyenne, je ne vois qu’une solution pour sauver vos fesses...” Je suis resté impassible, l’œil Interrogateur... Je montrais de l'incompréhension mais je pense qu’inconsciemment je faisais semblant de jouer au naïf. J’augmente votre note de 4 points si vous m’offrez Votre petit cul de puceau!“ Je ne savais que dire, je suis resté figé, tiraillé entre ma chaire qui mourrait d’envie de le laisser me bourrer le petit trou et la peur panique d’être défloré. J'ai déboutonné mon jean, que j'ai laissé glisser à mes chevilles. Je me suis accoudé à son bureau le regard fixé sur l’amphi vide. Je me suis offert à sa verge, en grand novice je l'ai laissé faire. En offrande je me suis penché dos à lui, le fion tendu. J’ai empoigné avec chacune de mes mains une de mes fesses, j'ai ouvert en grand ma raie poilue. Il a craché sur ma pastille serrée mais déjà excité, Le stress que je ressentais était un exhausteur de sensation. Il a étalé son mollard du bout de son pouce et m’a enculé d’un long coup de hanche, très lent tout en exerçant une pression constante. Il m'a pénétré sans chercher à apaiser la sensation de déchirement dans mon orifice l’orifice. Mon visage était crispé, mon souffle coupé, ma bouche laissait passer de temps à autre une sorte de couinement rauque à mi chemin entre la plainte et le jappement de plaisir. Je me sentais tendu et les joues brûlante, je devais avoir un teint cramoisi. Je sentais la veine de ma tempe battre à plein régime. J'ai lutté pour ne pas le pousser et partir en courant, la douleur était si intense. Une fois au fond de mon trou, il arrête de bouger un moment, je sens mon cul convulser contre sa queue, c'était une sensation bizarre, je contractais très fort. Tout à coup le déclic, j'ai senti un liquide apaisant se déversait dans ma boite crânienne pour ensuite se répartir tout le long de mes veines... Les endorphines... J'ai senti tout les muscles de mon corps se relâcher, mon dos retombé et se cambrer dans une position plus appropriée pour recevoir la verge. J'ai senti mon antre se modeler à sa forme et à son épaisseur. Il a laissé le temps, à mes parois, de se sculpter autour de son chibre et petit à petit j'ai commencé à ressentir une douleur supportable,indispensable même. L’effet de tiraillement est devenu agréable et j'ai pu ressentir une chaleur intense m’irradier le Bassin. Je suis devenu un sodomite. En signe de mon bien être, mon gémissement a remit son corps en mouvement et il m'a pilonné d'une cadence soutenu et de coups sec et confiant. Il savait où il allait et je ne pouvait lutter contre son savoir faire. J’avais les jambes qui tremblaient, mes yeux se révulsaient, mon cul vibrait. Je poussais des cris puissant sortis du fond de mon bide ! Je l'ai l'intimé de me défoncer de plus en plus fort, je voulait être déchiré, j’avais envie de ressentir, une nouvelle fois, la douleur intense qui s’apaisait ensuite dans un plaisir viscéral, bestiale. J'ai joui plusieurs fois, la bite tendu en l’air, je me prenais des vagues orgasmique dans la gueule comme si je nageais dans la houle de l'océan. Je l'ai senti d’un seul coup se tendre dans mon dos, et sa queue a fait des mouvements d‘arroseur automatique. Il était entrain de me ravaler le trou du cul, en m’aspergeant l’anus De son jus visqueux et prolifique. Je trouvais sa si sexy que mon propre sexe c’est mis lui aussi à baver de grosses glaires lourdes, de sperme, sur le sol de la salle de cours. Il c’est retiré en me tapotant une fesses et a prit la poudre d’escampette sans un mot... Je suis resté avachit sur le bureau quelques minutes seul, j'étais vide de toute mon énergie. Tout le reste de la journée mon trou du cul a coulé dans le fond de mon boxer. Tendrement, George.


7 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout
bottom of page