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Lourdes.

Dernière mise à jour : 31 juil. 2019

Je suis partie au pèlerinage de Lourdes, accompagner des enfants malades et en situation de handicapé, pour leur redonner l’énergie et le courage de se battre par la foi.

Étudiante en sociologie à Paris, aînée d'une famille bourgeoise, catholique et pratiquante, je logeais dans un couvent de jeune sœur qui m'ont proposé de les aider dans cette expérience.


Le premier jours, nous avions qu'un office de fin de journée avant le repas. Je passé la cérémonie prés de la mère supérieur, Marie Jeanne. Elle était la plus âgée de son couvent malgré sa petite quarantaine. Je sentais son parfum discret me chatouiller les narines et comme d'habitude, depuis quelques semaines, ça provoquais en moi une sorte d'hypnose qui me chatouillait l'entre jambe. Je refoulais ses pensées saphique et abjecte. Je ne vie même pas qu'elle avait capté mon manège. En s'asseyant sur le banc, la mère supérieur pris soins glisser son doigts sous mes fesses avant qu'elle se colle, elles aussi, au bois polie du siège. Dans le tissu léger de ma longue robe, j'ai sentie sont doigts se ranger dans ma raie des fesses et gigoter. Qu'elle honte de subir des attouchements pendant le sermon du Père François. En bonne catho, je dirige mes pensées pour me repentir de ses caresses du diable, mais je n'aurais jamais idée de dénoncer quoi que ce soit.


Une fois les prières fini, elle pris mon poignet pour se diriger vers l'autel et demandais conseil au prés du père. Elle lui dit devoir nous confesser, il leur fais signe de patienter sur la gauche et attendit la sortie de tous les paroissiens.


"Père, nous sommes toutes les deux possédé par le démon saphique. Depuis plusieurs jours je subit sont regard lubrique sur moi, et cela provoque des envies indécente."


Il nous regarde, l’œil froid, le sourire en coin.


"Mes chères enfants, vous allez enchaîner sans un mot mes ordres, je vais vous salir et vous punir pour vous lavez de vos honteuses envies.

Pour commencer, sur les sièges de prières devant l'autel, face au christ, vous allez vous agenouiller le fion bien en arrière et a disposition. Vous devez récitez 10 fois la prière à Marie."


Nous obéissons, il remonte nos robes sur nos fesses toute blanche, enfonce le bas d'un crucifix en nous jusqu'au max et nous recouvre de la cire brûlante de l'un de ses cierges sur chacun d'eux. Nous récitons en bonne pratiquante.


"Vous allez faire le tour des lieux, la croix toujours dans vos petits culs, les seins sortie, je vous ordonnes de pincer vos mamelons très fort!"


Je subissait des plaisirs trop honteux a assumer et dans le même son que ma complice je couinais ma honte et mon plaisirs. Mes joues étaient traversées de grosses larmes.


"La sotte allongez vous, mère Marie Jeanne en levrette au dessus de la sotte. 69, mais La religieuse devra porter un gros cierge allumé dans le cul pendant vos léchouilles."


On lappe les abricots comme des chiots assoiffées, je ne subit pas de suite les dommages du cierge qui se consume, puis mon front et mes cheveux devient le réceptacle de la cire brûlante qui y finissais sa courses après un chemin dans sa fente et sur sa vulve.


"Dans le confessionnal pour s'avouer face à face vos fantasmes dégoûtant et démoniaque pendant que je vous dérouille à tour de rôles vos trous!"

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