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Libertine face au bassesse des autres femmes

Dernière mise à jour : 31 juil. 2019

Je m'appelle lise, alias la female par mes potes. Je fais parti de ses filles qui n'arrive pas a cerner les codes des autres femmes. Je jure trop, je parle trop de cul, j'écarte les jambes assise et je n'ai pas trop de complexe. Je n'ai aucune attirance pour les rituels féminin, maquillage, vêtement etc... J'ai pas un physique au top et j'ai toujours misé sur le charisme.


Je suis plus proches des hommes et compte une dizaine de meilleur ami, je me sens plus en confiance et moins obligé de prendre des gants quand je suis en leur compagnie. J'ai un très fort caractère, je suis franche même si ça blesse et n'ai aucune peur de ne pas aimer des gens de mon entourage. Tout mes hommes savent que je ne ment que par omission mais que je répondrais franchement a toute question.


Matrone dans l'âme et assumée, je ne dépend jamais de quiconque. Je suis dur et froide avec les gens qui ne m’intéresse pas pour donner encore plus d'amour, d’écoute et de bienveillance à ma meute. Je ne gagne pas leur faveur par la séduction, je vaux mieux que ça et n'ai pas besoin de sa pour être aimée... C'est même le contraire! Je suis fidèle avec ma bande de cochons trier sur le volets, relation d'égalité ou on s'envoie des boites a tous va, on se dit quand on fais de la merde et on se dis le positif aussi.

Les hommes sont plus frontale et moins susceptibles, la relation est moins calculé, si un me saoule je m'éloigne et reviens à lui après la distance nécessaire. Je les aimes pour leurs défauts et qualités et ils savent très bien que lorsque je trouve une de leur "tare", un peux trop présente je me retire sans cancan et autre discussion stérile pleine de susceptibilité et de rancœur ou je dois choisir chacun de mes mots avec précaution.


Au final, j'ai une certaine notoriété et des mecs fidèles. Les filles finissent par baver sur moi car elles se sentent en danger. Je leur fais peur car je suis froide, prends mon temps pour tisser des liens et ne participe pas aux hypocrite accolades vide de sens. Tout rapport humain pour moi a une importance, je ne demande pas "ça va?" si je me fout de la réponse, ne fais la bise qu'au personne que j’apprécie réellement... Quand je prend le temps de m’ouvrir a l'une d'elle que j'aurais choisie avec parcimonie, je me rend compte qu'elles ont peur et pense que je mords.


Même si je ne connais pas les codes féminins pleins de petites annotations en bas du contrat, je m'applique toujours pour avoir une longueur d'avance, me battre avec des armes égal et ne jamais rentrer dans les bassesses.


Par exemple, je suis en couple depuis 6 ans, un soir je rencontre les copines de lycée de mon homme, ancien pédé des filles. Je constate, malgré que mon attention soit ailleurs, elles veulent que je les vois. Pas de soucie, contente de faire leurs connaissances, je me plie au jeux des présentation. J’écoute leurs discours admiratif sur mon homme, qu'elles "protègent". Je les vois me regarder, est ce que je vas réagir jalousement? Non du tout mon homme a un passé et c'est la personne a qui je donne un confiance aveugle. Je m'aperçois qu'elles sont piqués au vif, comment, moi fille si banale et grosse pouvais ne ressentir aucune crainte vis à vis d'elle? Tout simplement parce que mon homme aime les femmes de caractère pas les dindes qui jacassent.

Elles commencent a m'encenser, je les écoutes mais je ne crois jamais beaucoup à ses amabilités un peu trop poussé et trop rapide. Je les regarde froide, le sourire en coin, je ne les interromps pas, je ne cherche pas à les contredire et je ne répond pas par les mêmes marques de sympathie. J'estime que je dévoile mon intérêt pour une personne quand je le pense et non pour répondre à leurs parole. Elles me charment en essayant de faire croire qu'ado mon caractère aurais pu matcher avec leurs groupes, j'en rigole avec elles mais ne me dévoile toujours pas. Je n’écoute pas la sincérité des gens mais je l'observe dans leurs langages non verbale. Volubile je fais beaucoup de bruit pour occuper la tension sur autre choses que l'essence profonde en moi, mais sans que personne ne remarque j'observe attentivement tous ce que leurs corps en envie de dire et au travers des mes paroles je test leurs réactions aux différentes émotions que je provoque.

Elles me séduisent telles des charmeuse de serpent en me caressant la jambe complice, en provoquant un lien par le rire, je ne suis pas dupe et ne laisse qu'une dose infime de moi en réponse.

Je retourne auprès de mes copains, l'une d'elle, seule à présent, insiste pour que je lui fasse un câlin que je décline, d'une part car je suis en pleine discussion et d'autre part car je trouve ça un peu rapide après dix minutes de conversation. Je choisie des mots polie et enrobé pour lui refuser, et je la vois se vexer, ce n'est pas mon problème et elle fini par partir plus trop a son aise. La soirée continue jusqu'au petits matins puis je rejoins mon chéri qui m'apprends que, dés mon attention ailleurs, elles parlaient de moi en utilisant le mot "connasse" ou "salope" devant lui, Elles le regardaient en disant que je puais, alors que j'étais dans un salon surchauffé pleins de mâles suant et torse nu. L'une d'elle, appuyait les abnégations de sa copine en demandant à mon homme de comprendre ses insultes injustifiées....

La rage m'a montée, encore une fois, les filles me prouvait que je devais rester froide et sans coeur face à elles.

Franche de nature je savais que laisser couler me ferais ruminer et ressassé comme encombrée par des pensées qui me pollue. Je ne pouvais pas être incendiaire car cela prouverais une perte de contrôle de ma part, je devais leurs envoyer un message, franc enrobées de belles paroles.


"Salut les filles, je tiens a vous exprimer quelques trucs qui me chiffonnent afin de ne pas braquer face à vous par la suite et me montrer hautaine par la suite. Vous avez demandé de ma part une attention que je ne comptais pas plus vous donnez que cela, pour ensuite m'insulter et me rabaisser face à mon mari. Moi je m'en fout, je ne vous connais pas, par contre j'aime moyen que vous me faite perdre mon temps à vous écoutez, vous lancez des compliments sur l'amitié entre vous et lui, puis lui balancez des vacheries gratuites et grossières sur moi, il est blessé. Maintenant que c'est dit, je suis prête à me faire une nouvelles idées de vous, sans aucun a priori!"


Par ce message, je les prends de courts, je n’hésite pas à allez au front. Je ne serais pas leurs victime, je ne leur donnerais pas le plaisir de faire taire, honteuse. J'estime qu'a 30 ans on peut dire ce que l'ont veux si c'est justifié et assumé. Un de mes copains à toujours dit que pour s'attaquer à moi il fallait être sur de ses arguments car moi je les ai.


J'ai reçu une réponse, pleines de technique de fuites. Elles ont prétextées, ne pas se souvenir et avoir trop bu. Bien trop facile cette excuse, on se bourre la gueule, on fais de la merde sans se soucier de l'impacte sur les autres et après une nuit de sommeil, on se réveil sans souvenir et tous le monde doit excusez sans chercher plus. A 30 ans, j'estime que l'on doit perdre le contrôles de ses esprits en gardant à l'esprit qu'il faut assumer ensuite. Je leur explique cette pensée, je leur dis que si elles, elles ont oubliés par lui. Il est introvertie et méfiant avec les gens, il se laisse approcher mais ne laisse jamais de deuxième. Mon homme ne déteste jamais personne, comme moi il ignore, sans aucun scandale, sans que personne ne soit témoins du rejets, on ne porte plus un regard sur la personne.


Maintenant, j'attends la confrontation en soirée avec l'une d'elle. Sa copine étant expatriée, une fois partie, elle sera seule face à moi et ma meute. Je ne suis pas une garce, je ne l'humilierais pas, mais dans un coin je ne la laisserais pas se débiner.



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