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Libertinage et handicap.*

Ma rencontre avec un couple charmant, qui détonne par la différence d'âge mais aussi par leurs forte complicité perverse entre eux, malgré la tétraplégie d'Axel.


Léonie, est une trentenaire enthousiaste et pleine de coquineries. Elle à physique de rêve, visage carré, des yeux sombres et des sourcils larges et broussailleux, les traits de son visage sont un poil masculin. Elle a 25 ans et travaille comme assistante juridique dans le cabinet d'avocat de son mari et patron, Axel.

Il a 50 ans, divorcé, père de 3 enfants, à la suite d'un accident il y a 20 ans, il à perdu l'usage de ses 4 membres. C'est un très belle homme, au charisme écrasant, perturbant, enviable, son handicape ne l'a jamais freiné et même encore marié il courrait les jupons en bon séducteur.


Ils se connaissent depuis toujours, dés ses 15 ans une attirance réciproque les a perturbés mais ils sont tenu bon jusqu'à sa majorité ou ils ne trouvaient d'excuse valable qui justifierais de ne pas tenter l'aventure ensemble. Il a divorcé pour elle.

Avec son ex femme, sa vie sexuelle était inexistante, c'est Léonie et sa fraîche jeunesse qui se mit en quête de son nirvana. Ils avaient fini par trouver, leur plaisir et leur équilibre.


Léonie est une bi, libertine et vie pleinement ses fantasmes sous les encouragement d'Axel, parfois ils partagent sont expérience, parfois elle n'a pas envie de le partager... Elle est libre!

Une fois par mois, un weekend, Ils s'adonnent ensemble à la perversion. Tout au long de la semaine ils cherchent chacun 2 hommes et une femme, pour un dimanche de débauche.

Le vendredi soir, avant de se coucher, tous les protagonistes doivent être booké et ils doivent leur envoyer un scénario monté ensemble.

Le samedi est réservé à leurs amour, ils passent la journée au lit, regardent des films, papotent et Léonie se sert de son homme, comme d'une planche pour se frotter. Elle étale sa cyprine sur tout son corps immobile. Elle s'assoit sur son museau et se déchaîne sur sa bouille, il ne jouira pas. C'est toute sa préparation cérébrale.


Le dimanche auquel, j'ai la chance de pouvoir participer passivement en qualité de voyeuse et sur le thème des orgies romaine. Léonie à étendu des draps blancs sur les canapé style Louis XIV de leurs chalet dans les Alpes. Elle a garnit chaque guéridons, dispersé dans toute la pièce de grand corbeille à fruit et de pichet de vin en argent gravé.

Comme a son habitude, elle accompagne son mari jusque dans son bureau calfeutré.

Elle attrape ses joues pour lui coller un bécot pleins d'amour et de passion sur ses lèvres et lui murmure un: "je t'aime" l’œil brillant.

Il restera la, jusqu'au départ des convives. La porte reste entrouverte, il veut tout entendre, une fois seule avec sa dulcinée, il regardera les films de chaque caméra disposé dans le salon.

Elle a prévu un drapé blanc totalement transparent, cintré d'une cordelette dorée, on peut largement voir ses grosses pastille brune et sa touffe bien épaisse sous sa toge de femme de la haute société romaine. ses cheveux sont nattés en couronne, laissant échapper quelques boucles brunes un brin rebelle.

Ses lèvres sont coquettement peintes d'un rouge vif, elle est si belle, je suis déstabilisé par sa beauté.

Elle prend un peu de temps pour moi, je suis surprise. Elle me penche en avant sur le plan de travail de sa cuisine, écarte mes deux tranches anal, et loge sans tâter sa flexibilité un long chapelet de bonne taille. C'est un Plug à impulsion électrique qu'elle règle sur une intensité moyenne et qu'elle branche dans un coin du salon, elle à l’obligeance de me donner un tabouret haut pour que je sois assise mais pas totalement à l'aise. Je tressaute sur mon assise, le premier quart d'heure puis je commence à soutenir les sursauts pour bloquer les convulsions moi et décuplé le plaisir. Je prends soin de rester de marbre, sans montrer que je prends du plaisir je maintiens mon excitation sur le fil du rasoir.


La sonnette se fait entendre et je vois la belle Léonie, s'éloigner, le tissu qui la couvre épouse à merveille ses formes et ondule au rythme de ses hanches. Elle est parfaite!


Elle revient tout sourire accompagnée de ses partenaire de la journée. Il y a Salomé et Iris deux copines, lesbiennes, tout juste en 1ere année de fac, elles sont comme deux petits bonbon à croquer, petite et rondelette, le visage rieur et les joues rebondie, le visage de la jolie Iris est moucheté de taches de rousseur. Derrière les deux pin-up, quatre copains du même club de fitness, tous les 4 entre 35 et 40, beaux mecs, bien taillés. Il y a Simon le timide, Arnaud le pitre, Luc le poète et Ludo le queutard.


Ils boivent tous une grande coupe de vin rouge, ils papotent et s'apprivoisent, ils tentent de dissiper la gêne du à l’inconnu. Très vite, la belle Léonie apporte devant l'assemblée un carré de toile en vinyle transparent d'une main et un broc, remplie d'un tuyau, de ce qui ressemble une grande canule et une paire de gants de chirurgien en latex.

Elle remonte sa robe romaine sur ses hanches et se place sur ses 4 pattes ses flancs et ses fentes à découvert.

C'est Iris et Salomé qui interviennent pour cette pratiques. Une, remplit le pichet de 2L de lait d’ânesse qu'elle a spécialement acheté. L'autre monte la canule a la valve du conduit et le plante dans le fion de la jolie Nénette. Elles fixent ensemble les deux dernière parties.

Iris lève le bras pour maintenir son cul en déclive et faciliter son remplissage, Salomé maintient le tube en place et masse ses fesses, comme pour détendre une viande.

Les 4 hommes sont au dessus de sa gueule renversé en arrière, sa bouche est grande ouverte et elle grogne d'un voix très grave. Ses yeux sont ouverte, ils fixent un point, elle n'est plus la. Elle se reçoit des coups de verges dans la face en continue, parfois voulut, parfois incontrôlé.

Il faut attendre quelques minutes pour que le récipient se vide, je la vois se tordre de droit à gauche, ses traits sont crispé, je devine de suite qu'elle est envahit par des crampes intense qui lui tord les boyaux. Je connaissais ça pour avoir moi même du retenir un gros lavement. Elle doit se concentrer pour rester droite et ne pas laisser ses tripes la faire tomber au sol, elle se doit de rester le plus digne possible. Son sphincter, veut tout lâcher mais elle est trop battante pour baisser les bras si vite.

Simon bloque son fion avec un Plug, ils ont quelques batifolages à faire entre eux avant de l'admirer se vider épuisé de toutes cette tension anal.

Les deux copines se galoches, allongées l'une sur l'autre, laissant les mecs joué au trou du cul musical, pendant une bonne heure intense et captivante, bruyante et humide de sueur sexuelle, ils tournent dans leur anus. Elles piaillent, gémissent, souffle comme des vachettes. Tous les 6, oublient totalement la présence de leur hôte. Je crois qu'ils n'ont même pas vu que j'étais la....

Ils finissent par se calmer, essoufflés par leur longue transe endiablée. Luc débouche le colon de la pauvre Léonie qui ne peux contrôler la flexibilité de sa rondelle, une cascade de lait plus brun qu'à l'aller, s'écrase à ses genoux et coule le long de ses cuisses.

Son libérateur, l'attire vers lui et ordonne de lécher son jus par terre. Elle s’exécute, les joues écarlates, l’œil brillant, une larme descend le long de sa joue.

Je l'observe attentivement, le moment est important, elle est entrain de flancher, son ego est piqué au vif, elle perd pied.

Dans peu de temps elle va se résigner, leur offrir l'essence même de sa personnalité pour devenir une chienne sans opinion incapable de prendre la moindre décision.

Se sera une lavette, une serpillière, une vraie merde.

Je peux ressentir les sensations qu'elle éprouve en puisant, la mémoire sensorielle de mes séances de soumission, au fond de mon bide.

Un murmure dans un coin de sa tête lutte encore pour qu'elle retrouve son intégrité mais sa peau en érection, ses fentes à fleur de peau et coulante se mêlent aux hauts le cœur et aux vertiges qui partent du fond de son sexe et l'envahissent d'une vague électrique. C'est bien trop fort pour qu'elle puisse lutter, il est trop tard, elle a atteint le point de non retour il y a quelques minutes.


Il la place à genou sur une chaise, la poitrine à cheval sur le haut du dossier. Ses rotule sont en équilibre sur l'angle de l'assise, ses guibolles trembles, ses douloureux mais elle tient bond. Elle commence à s'oublier, elle commence à devenir aussi vide qu'une poupée gonflable. Ce sera bientôt le KO dans sa tête, une lumière blanche, un bruit aiguë et continu dans la tête. Elle sera comme paralysé, incapable du moindre mouvement, de la moindre réactions, comme un apnée, sont corps sera comme roué par des coups de plaisirs, je comprends ce qu'elle va maintenant subir et je sais que ça va arriver plus vite que prévu.

Arnaud arrache le haut de sa toge pour dénuder son dos et fais une boudin de tissus calé dans sa croupe pour exhiber son cul-cul aussi! Il attrape le fouet que Ludo lui tend.


Je suis hypnotisée par cette soumise endurante et solide, elle se prends 30 coups de fouets. Son dos et son cul sont lacérés, des filet de sang coule sur l’étoffe et ses jambes.

Elle pleure silencieusement, elle n'est pas triste, elle ne se sent pas violée, elle est bien, à sa place... Ses larmes sont seulement le moyen de d'évacuer cette sérénité mélangé à des émotions et des sensations très fortes, elle est brisé, transpercé de choc électriques, le corps fébrile, il convulse, secoué de vague de tremblement.

C'est une petite merde sans défense.


Ludo, termine ses mauvais traitement en écrasant à 15 reprises la fraise de son dos. Il appui bien faire dans sa chaire et reste quelques secondes, elle hurle à chaque fois, il va même jusqu’à écraser sur les plais du fouet.


La journée c'est déroulé dans une même ambiance, la pauvre Léonie était de plus en plus amochée mais à aucun moment elle sors son safeworld.

Elle fini la journée en buvant leurs éjaculations à toutes, même les deux filles étaient fontaines.

Une fois la journée fini, en quelques secondes la belle retrouvent son éclair de vie, elle est fatigué mais heureuse, presque soulager... Elle les remercie, les embrasses et referme la porte.


Je ne sais pas si je peut réapparaître ou si je dois rester transparente, les montée électrique de plaisir deviennent compliqués à dominer. J'ai l'entre-jambe qui pique. Elle revient dans le salon, me regarde. Elle se dirige vers un meuble sur ma gauche d'ou elle sort un des plus gros calibre de sex-toy. Il faut 40 de long et dix de large. Elle me lève de la chaise, pose l'engin bien droit dessus. Elle s'accroupit pour enlever la sonde électrique, de mon trou, avec la bouche en prenant soin de me regarder droit dans les yeux. elle éteint l'appareil et le suce devant moi et me marmonne que j'ai bon gout.


Elle ramène son amoureux avec nous, elle le porte pour le poser, sur une sorte de cheval d'arçon, face contre cuir et elle le ceinture pour pas qu'il glisse.


"A cause de son handicap, Axel ne ressent quasiment plus rien, nous avons mis des années à trouver une petite zone érogène qui pourrait le faire jouir. Seul le muscle de son anus ressent... Pas son colon, ni sa fente seulement son anneau de calamar. Posé ainsi il se sent pris au piège, cela intensifie son plaisir en faisant un lien entre son plaisir cérébrale et cette petite zone anal.

Par chance nous en avons trouvé une deuxième son gros orteils droit. Je dois donc rentré mon poing dans son cul, pour gratter avec mes doigts plié en lui son trouduc, tout en suçant son orteil. Pour son plaisir mentale, il regarde sur le rétroprojecteur, avec le son sur round les vidéos espionnes."


En effet pendant un très long moment elle lui laboure le fion, de sa deuxième main libre elle se cajole le minou. Ils sont en osmose, se parle beaucoup. Axel, l'insulte beaucoup, Léonie s'excuse beaucoup. Ils jouissent ensemble et pour clore se moment de débauche elle se fouette les seins avec un martinet et joui.


"En guise de remerciement pour notre accueil, tu vas nous montrer ta masturbation la plus salope!"


Je me rend dans leur WC, sur mes quatre pattes, je penche ma tête dans la cuvette pas très propre tout en attrapant le brosse a chiotte. Je me frotte doucement la brosse dans les fentes, je l’insère à l'entrée de mes trous. Je m'applique à léché toute les saleté collé à la faïence. Léonie disparaît quelque seconde avec un sac de poissonnerie, dedans un bar congelé. Elle m'ordonne d'écarté mes fesses en grand et me viole le fion avec un poisson mort... Je pleure et je lèche, je sens le plaisir me rendre folle, j'ai l'impression que je vais uriner, elle capte qu'il se passe quelque chose et retire l'animal, j'éjacule sur le carrelage. Pendant une bonne minute je vide d'un bon jet, je me suis écroulé sur le chiotte le nez à la surface de l'eau.


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