Le sexe septuagénaire
- Chloé Caramelle
- 12 mai 2019
- 8 min de lecture
Dernière mise à jour : 12 mai 2019
Ninon, 78 ans, veuve et en couple depuis 6 mois.
Je m'appelle Ninon, je suis une "jeune" retraitée de 78 ans, j'ai vécu 52 ans de mariage fusionnelle et passionné avec Boris. Il est mon premier grand amour, rencontré dans un bal du 17eme à Paris.
Tout à commencé par une dispute, il a prit comme un affront de me voir danser avec un bel africain, alors que j'avais refoulé son blanc bec de copain.
Mon Boris aux allures très coquette, qui ne venais jamais à l'heure aux rendez-vous mais qui finissais toujours par apparaître. Jamais un lapin!
Nous avons eu 4 enfants et 6 petits enfants tous les deux,mais aussi, 6 maisons, 1 déménagement dans le sud, deux maisons incendiées, un commerce... De quoi remplir 5 décennies d'amour.
Chaque semaine il m'offrait des fleurs car je méritais d’être ensoleillé par la couleurs vive des bouquets, répétait-il. Chaque saint-valentin nous nous envoyions des petits mots coquin, devant le nez de nos enfants et petits enfants interrogatifs. Nous étions comme deux ados insouciant. Nous formions deux parties égal d'un même être.
La maladie, les soucies et la fatigue,ont pointé le nez. Plusieurs années de soins, que j'ai décidé de stopper après une demie journée, ensemble, à ce raconter tous ce qui nous restais au fond de la tête. Il c'est éteint et ma vie c'est effondrée.
1an de pleurs, d'errance, de solitude et de regret. J'ai finit par relever la tête, comme il l'avait prédit, et je me suis relevée.
Je me suis inscrite dans un club de veuve, j'ai fais connaissances avec mes voisines de résidence, je me suis inscrite à l'aquagym et je me suis octroyé des sortie, solitaire, au thé dansant.
J'ai redécouvert une nouvelle envie en moi, celle de plaire à d'autre homme que Boris, j'ose honteusement l’impensable.
J'ai osé m'inscrire sur meetic. J'ai découvert, à ce moment la, le besoin d'une présence masculine et de son affection ou plutôt de son désir sexuel.
J'ai échangé avec un premier homme, charmeur, toujours dans la séduction, je me suis vite rendu compte qu'il en voulait qu'a mon cul, pour parler vulgairement, je n'étais pas, encore, prête.
Un certain Renaud, plutôt charmant, flatteur mais pas trop non plus et surtout bienveillant c'est approché .
J'ai commencé à chatter, timidement dans l'inconnue, presque honteuse de penser que je pouvais encore dégager un sex-appeal à mon age.
Mon corps fripé, marqué par le temps, pouvait il plaire encore? Est-ce naïf et risible d'oser le penser?
Comme dit ma petite fille, je suis comme l’intérieur d'un arbre ou chaque cercle représente une année de vie mais pour mon corps c'est les rides.
J'ai décidé d'en parler au mien avant une rencontre, devant eux je me suis trouvé mal à l'aise et bredouillante. Ils ont accueilli la nouvelle positivement, ça ma donné du baume au coeur pour continuer.
Ma petite fille aînée et moi, sommes très complices depuis toujours, je suis comme une mère et une meilleure amie pour elle, nous avons longuement échangé. Pour la premiére fois, c'est elle qui me rassurait et m'aiguiller sur le sujet. Elle m'a encouragé, parlé de ses expériences de croqueuse d'hommes et des sites de rencontre.
Elle en parlait de moi, tout autour d'elle et me relatait les avis positifs, je me suis rendue compte que j'osais ce que peux de personnes, de ma génération, osaient, pourtant je me suis aperçu qu'ils étaient malheureux de cette solitude et de se tabou.
Crier et assumer qu'à chaque age ses atouts séductions.
Évidement que pour un jeune de trente ans je suis un vieux débris, mais c'est pas eux que je cherche à séduire.
J'ai rencontré Renaud et aussi vite que notre complicité est apparu dans ma vie, je l'ai, comme disent mes petites filles, nexté.
C'est à ce moment précis qu'un fameux Tarzan est arrivé dans ma vie.
Mon tarzan, celui qui me fais vibrer, roucouler et minauder depuis 6 mois maintenant.
Il a bouleversé ma vie, on a bouleversé nos vies.
On ne comprend pas ce qu'ils nous arrive mais sommes sur la même longueur d'onde.
Je ressent l'euphorie d'il y a 54 ans de ça, les viscères qui font des bons comme pour mon premier amour.
Qu'elle sensation enivrante, qu'elle chance de la ressentir de nouveau et avec ma maturité. Je ressent comme une jeune fille tout en ayant assez d'expérience sans le comportement conflictuelle entre eaux fraîche et projets d'avenir, pression professionnel et la nervosité de la jeunesse.
Nos vie sont faite, les dés sont jetés, on à plus qu'a kiffer!
Dans nos maisons respectives, trône les photos de feu nos conjoints sans le moindre sentiment de jalousie. Nous avons eu des amours éternels, nous sommes pas la pour remplacer, ni comparable, nous sommes tout les deux au claires vis à vis de ça.
Nos époux sont nos compagnons de la constructions et de la vie, nous nous sommes deux amoureux qui profite des papillons de la jeunesse sans aucune autre ambition que le plaisir. On s'accompagne tendrement et charnellement vers nos vieux jours.
A ses côtés, je m’émancipe de mes filles si, aimante, qu'elles sont étouffantes.
Je les aime de tout mon cœur mais inconsciemment elles voudraient que je sois disponible chaque fois qu'elles ont du temps à m'octroyer.
Avec, mon, Tarzan je suit mes envies, tout en profitant de la lune de miel des débuts de relations. Je décide, que mes filles sont grandes, j'ai enfin le droit d'être égoïste.
J'ai rencontré mon deuxième kiki de ma vie, comme une pucelle je me suis découverte timide la premiére fois.
Nous étions à table, en tête à tête, il c'est levé, c'est approché de moi et ma tenue la main pour me redresser face à lui.
Il a mit sa main au niveau de mes reins pour me plaquer contre lui et m'a embrassé avec une passion enflammée.
Il m'a demandé de le suivre jusqu'au salon, ou il a remonté ma robe sur mes hanches et déchiré mon collant.
Je ressentais à nouveau le feu entre mes cuisses, ma minette en mouvement crachant mon jus.
Il m'a murmuré à l'oreille de me pencher sur le dossier du canapé et de me laisser faire. Nous ne pouvons plus nous culbuter sauvagement avec nos corps cabossé et il a fait quelque chose que je n'avais pas osé pratiquer depuis très longtemps.
En position d'exposition, j'ai rougi et mon sexe poilu c'est mis à craché des jets de mouille à foison. Il a glissé sa lange entre mes fesses, je rougissais a vue d’œil, cet homme se révélait des plus coquins, presque pervers...
Il a poussé certaines de mes barrières en se montrant cochon et bienveillant, sans le vouloir, il a fait céder le barrage des tabous en moi.
Il me parlait de ses intentions, d'une vois grave, terriblement sexy.
Il m'a dit qu'il avait envie de mon petit cul depuis le premier jour.
Qu'il aimait déguster une jolie rondelle, usé par le temps. Jamais mon époux aurait osé ce genre de propos, j'aurais pu m'offusquer, la j'en avais rien à faire, non pire, j'en avais envie.
Il regarde ma fente arrière bien baveuse, luisante, brillante. il me dit, vouloir savourer cette moule détendue par les années. Il m'avoue fantasmer sur le goût de mon minou à chacune de ses branlette.
Il m'a brouté tout en doigtant mon anus de deux puis trois doigts. Ses gestes sont délicat tout en révélant un côté dominateur, il maintient une certaine pression constante en moi.
J'ai très vite eux mon premier orgasme avec mon deuxième homme.
Il a profité de l’endorphine en moi pour me faire cracher trois fantasmes inavouable, que nous avons finit de réaliser la semaine dernière.
Le premier, c'est ma petite fille bisexuelle qui m'a interrogé. Albert me l'a offert un soir ou il est venu, accompagné de Mireille, la veuve de son cousin.
On discutais joyeusement sans que je me rende compte qu'elle, c'était glissée derrière moi, elle a pincé mes tétines en me susurrant qu'elle avait, elle aussi, envie de jouer au lesbienne.
Albert nous à maté en filmant, à mon age je me suis sentie dévergondée... salope pour être honnête. Si je n'étais pas d'un autre age je dirais même Pute.
Nous avons commencé par nous téter les nénés en nous tripotant, mutuellement, la cerise.
Nous avons continué par un 69, j’appréciai sa chatte flasque, pendante et son goût intime. Elle a enfoncé divers objets dans mes trous.
Pour finir, mon Tarzan m'a pénétré le sexe, pendant, que je l'a brouté.
C’était si bon que nous avons décidé de continuer, de temps en temps, tout les trois et de faire une commande de jouets.
Nous avons choisit un espèce un long jouet à deux têtes, un vibrant, un jouet pour le cul destiné aux hommes et un pour les femmes, le tout, de grandes tailles.
Le deuxième fantasmes: Il a invité son voisin pour l'apéro, j'ai vite compris pourquoi et j'ai voulu prendre les choses en main. Sans la moindre gêne, j'ai montré, a l'homme, la vidéo pornographique de Mireille et moi.
Il a d'abord, était gêné, car encore marié, puis il c'est résolue à ses désirs. J'ai sucé leurs deux queues toujours devant la cam allumée, j'en avais plein la bouche.
Je me suis assise, mon cul sur la bite du voisin et le sexe de mon Tarzan dans la bouche, en sandwich, malmenée par deux mâle en rut.
La double, a finit par arriver, en cuillère sur le lit. Une dizaine de minutes plus tard, ils ont juté tout deux, en moi.
Avant de laisser l'homme repartir, j'ai exigé de me faire gicler dans la bouche.
Le troisième fantasme: Albert m'a privé de tous mes sens, ma nommé marquises des anges et m'a conduit dans le salon. Attachée, par ses soins, à une chaise, yeux bandé et les sens restant en éveil.
J'entendais plusieurs voix d'hommes. En regardant la vidéo, plus tard, j'ai découvert que 4 jeunes hommes rencontré sur le net m'ont léché à tour de rôle puis déplacé sur le lit couché à plat ventre et sodomisée avant de se barrer sans un égard pour moi. Seul le dernier à pénétrer mon cul, décida de switcher sur celui d'Auguste, pendant qu'il fourrait le siens dans mon trou béant. Nous avons jouis à trois, en canon.
Avant son départ, j'ai répondu à une de mes filles, privé de sens, les deux mâles entrain de me brouter les fentes.
Je me sens jeune, bonne et cochonne, dans mon corps tout vieux.
Enfin hier, nous avons fait une soirée avec le voisin, Mireille et les sex-toy, enfin livrés.
J'ai mis des bas et une nuisette rouge en dentelle transparente assortie à celle de Mireille.
Nous avons bu et mangé tous les 4, dans une ambiance d'orgie romaine, les jouets disposé, bien en vue et mes vidéos diffusées sur le grand écran de télé.
Nous avons tous mis, dans un bocal, 15 gages chacun, tirés tout au long de la soirée.
Jai du me masturber avec le plug anal devant eux, les laisser tremper des fruits en moi pour les manger ensuite, sucer à tout va, et baisé le jouet double tête, avec Albert, qui assume, aimer le cul.
Nous avons ensuite fais une excursion dans un parc connu pour les rencontres nocturne non loin de la maison.
Sur le papier du gage, Mireille et moi devons nous asseoir sur un banc et nous masturber à tour de rôle avec le long gode, je crois que ça se dit ainsi, l'originalité: masturber l'autre en le tenant dans la bouche.
Les hommes avait chacun un plug dans le derrière.
3 hommes nous mataient.
A tour de rôle nous avons pris chaque jouets dans les trous, nous avons, aussi, essayé quelque chose que les hommes désirent, jouer aux soumises.
Une pratique chacun: Albert, se fait balader en laisse par Mireille, Mireille se prend des fessées, insultes et claques, le voisin suce un gode en se faisant doigter au max par, nous trois et moi j'ai du me faire prendre le maximum de jouets, gourmandes quasi avide de plaisir, j'ai fais durer le truc, exigeant, chacun d'eux dans mes orifices;
Deux dans le sexe, deux dans le cul et ,on a réussi à enfiler, 3 doigts dans le minou.
Pour clôturer le jeu, nous avons cherché des vidéos de fist avec éjaculation féminine entre fille, que nous avons essayé. J’ai réussie à la faire jouir trois fois sans succès de jets.
Pour ma part, je me suis découverte fontaine, assise au bord de la table, j'ai juté sur les bouches béante des mecs, sa main et son poignet enfoncé en moi.
La prochaine fois, nous prévoyons de réaliser de nouveaux fantasmes en regardant du porno.
J'ai 78 ans et je découvre ma sexualité perverse.
Merci à Ninon, une femme rencontrées dans une association qui m'a écrit se texte pour étoffer se projet de blog.
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