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Jeanne au Japon

Dernière mise à jour : 31 juil. 2019

J'étais en déplacement un mois à Tokyo, je devais faire les négociations avec une entreprise du pays. Je devais monter tout un dossier avec le services techniques, visiter leurs locaux, éplucher leurs comptes. J'étais celle qui fouillé toutes les archives pour juger de la bonne association de mon groupe avec cette société. Une fois ma décision prise je devais entamer la phase de négociation.

Je devais enfin acter ce dossier dans deux jours les temps de régler les dernières paperasse et rentrer chez moi, enfin!

Nous nous étions réunie, les deux équipes sur le projet, dans un restaurant de centre ville pour relâcher la pression.

La serveuse était une toute jeune femme, tout juste majeur. J'étais depuis toujours attirée par les femmes plus âgée que moi, pourtant j'étais attirées par sa beauté, sa fragilité et la timidité qui nous sauté aux yeux dés qu'elle s'adressait à nous.


Le repas à duré jusqu’à 2h du mat', le saké coule à flot, je me suis sentie coquine est particulièrement fière car en sortant des toilettes, je croise la jeune fille et me plaque derrière elle en lui chuchotant:


"Dans une demie heure, je t'attends dans le hall du love hôtel au coin de la rue. Tu discute pas ma petite, je vais te faire prendre confiance en toi!"


Comme je lui ai promis, je laisse mes collègues s’éloigner et rebrousse chemin sur quelques mètre pour entrer dans l'établissement. A la minute prés la jeune fille arrive sur les lieux. Elle a du enlever l'uniforme de son restaurant et a revêtu celui de la lycéenne.


"_Tu es majeur?

_Oui j'ai redoublé à deux reprises voila tout... j'ai eu 18 ans le mois dernier!"


Je choisis sur le tableau de commande un style de chambre, nous optons pour une chambre donjon à l'aspect feutré et satiné.

Nous rentrons dans la chambre, je l'ai faite de suite s’asseoir sur le lit et commence à lui expliquer les choses pour qu'elle sache ce que je veux faire d'elle.


Je lui explique que je vais dilater ses trous avec divers objets, jusqu'à ce qu'elle ne supporte plus la douleur.

Je prends le temps de lui dire que je vais malmener sa minette et déformer ses lèvres avec des objets de tortures, qu'elle va avoir des bleus et peut-êtres des entailles.

Je lui avoue, pour terminer, que je vais l'humilier, la souiller et prendre plaisir à la piétiner.


Dés sa première envie de faire pipi je lui interdit l’accès aux WC et attrape en couche posé dans l'armoire d'accessoire, je lui demande de se soulager, elle se bloque, honteuse. Je l'assoie sur le bord d'une assise en bois, je penche sont buste en arrière et masse fortement sa vessie. Elle me supplie d’arrêter, elle ne dis pas pour autant le safeworld, elle pleure, envahis par la honte. Je fous ma chaussette sale et odorante au fond de sa gorge pour la faire taire. Ses yeux sont envahis de larmes. Je vérifie dans la couche l'entrée de son minou, il est gluant de mouille. Je lui demande si elle pleure parce qu'elle aime pas, elle hoche la tête négativement, parce qu'elle se rend compte de la pute qu'elle est? elle dit oui.

A force de massage, elle fini par se vider, ayant, une main dans sa culotte pour sentir le moment venue, je sens son petit jet sur mes doigts. Je masse sont clitoris en lui demandant d'avouer aimer pisser pendant la masturbation.

J’appelle la réception pour leur demander de me faire venir, des légumes de formes phalliques et une anguille crue. Pendant ce temps je lui fais lécher mes doigts pleins de pisse.

J'ai demandé la chambre avec tous le matériel compris: accessoires, produits, film, mobilier, poupée gonflable, costume...

Je lui demande de s'allonger sur le dos, les chevilles collé aux oreille, je regarde les costumes et me décide pour celui de Mickaël Jackson, un très gros strapon caché dans le pantalon.

J'ai attrapé la courgette, je l'ai recouverte d'une capote et blottie dans son trou de balle, a peine défloré.

J'ai ensuite rangé la branches de céleri dans son vagin, la tête en premier et l'anguille entre ses dents.

Ainsi foutue, je me suis penchée contre pour me frotter en bonne vicieuse. Je lui arrache sa culotte avec un couteau de cuisine, je cale le fond souillé de son tissus contre ma langue pour la savourer. Je suis dans une transe démoniaque ou je veux la magnifier par la douleur. Je retourne le couteau pour l'attraper par la lame et m'entaille la main en lui godant le trou avec le manche. Avant de passer à autre choses je balade la lame coupante sur son sexe et lui fais une petite entaille sur chaque lèvres.

Je mets dans sa bouche un écarteur de grande tailles, ça lui fais mal. Je rentre la tête du poisson dedans. ça pu!

Je l'ai suspendu par les chevilles, accrochée à des barres amovible fixé au plafond et je les freines, en position bien écartée. ça tête est dans une boite en bois, elle est dans le noir encastrée. Je film avec mon appareil photo numérique mon show.

Je hume sa minette très poilu, et sa fente anal tout autant. Je tire fort sur ses buissons, elle couine, je tire encore plus fort puis fini par lui accrocher des pinces avec des poids sur les bouts de ses tétines renversées.

Je plante bien droit entre ses cuissots tiré sur les côtés un cierge identique à ceux des église et je l'allume.

Elle a le visage violacé et crispé les bouts des nénés aussi. Elle bave, des coulures s'étende jusqu’à ses yeux et sur son front, elle ne voit plus rien.


"S'il vous plait Madame, je ferais tout vos désir si vous relâchez toute la tension dans mon corps en me détachant. Je vous en supplie..."


Elle essaie de me faire pitié en pleurant et en faisant le bébé. En réponse j'enfonce le bout pointu de mon escarpins dans sa bouche posée sur sa langue. Le cierge c'est assez consumé pour que des coulé de cire chaude se verse sur son sexe.


Je la détache, l’amène dans la salle de bain. Je la plaque dans le bac à douche, je sors mon sexe de plastoc de mon pantalon. Sa face contre la faïence, j'enroule de deux tours le tuyaux de douche autour du cou et lui défonce le fion avec le gode. Je manie l'art de la strangulation à merveille et connais la fréquence qu'il faut pour alterner pression et relâchement. Je la viole littéralement avec son consentement. je fais des aller/retour violent et je sens l'odeur de merde qui se dégage des traces maronnatre que la gueuse dépose sur le jouet. Je la laisse jouir, en pourrais croire qu'elle fait une crise d'épilepsie tellement c'est violent. puis je chope sa bouche en pinçant d'une main chacun de ses coins de bouches pour la faire bouger sa saleté.


"Je vais chier sur ton visage et te seins, vos plats me donne la diarrhée et tu vas téléphoner à ton père pour lui dire de venir nous rejoindre."


Elle secoue la tête pour désapprouver, se débat, jappe comme une sourie. Je l'enjambe dos à elle, j'ai l'entrejambe au niveau de ses seins et les fesses orientées vers son nez. Je pousse est dans un pet explosif, une partie de ma merde plus épaisse s’écrase sur ses petites miches et un jet fait des traînés sur son minois.

Je l'amené ainsi dans la chambre pour qu'elle appelle son père, pendant qu'elle passe l'appel je lui donne des coups de fouets sur tout le corps sans ménager ma force.


"Papa...Je suis au love hôtel prés du restaurant... Oui papa, je sais que je n'ai pas le droit... Je suis avec une Française papa... Je suis pleine de merde, les trous malmenés et j'ai envie de te sucer papa... Oui je mérite que tu me batte pour de tel propos... J'ai envie de ton sperme dans ma gorge... Je t'attends... Oui je sais que tu vas prendre la badine."


J'ai déchiré son uniforme et je les dégueulassé, le temps que son père viennent, je vais chercher sa merde au cul à l'aide d'une grosse cuillère en ouvrant bien son cul avec des pinces. Je fourre la cuillère dans sa bouche.


Il répète de tout stopper en pleure de gros sanglots, l'a font haleter. Je vérifie une fois si elle veut arrêter mais elle hoche la tête.


On frappe à la porte, un quadra dégarnie, le style classique et lunette fine. C'est son père.

Il entre tombe sur sa fille la gueule, la bouche et les seins crotté. Son corps est couvert de lacérations violacée. C'est battue on du mal a reprendre formes.

Il a un moment d'hésitement puis il passe à l'action.


"Vous êtes deux truies, je vais vous punir toutes les deux de la manière la plus perverse et la plus humiliante. Ma fille, tu vas te foutre a poil et m'exhiber ton corps souillé que je vois si je l'ai au moins bien formé. Je veux que tu cri "papa" à tout bout de champs.


Il crochète son capuchon et joue pour faire ressortit toute sa liqueur brillante hors de son récipient. Il la branle de façon à déceler la fontaine en elle. Il me demande de me dévêtir, je lui avoue avoir mes règles... Il me demande qu'elle genre de protection? je lui répond tampon et serviette car hémorragique. Il me dit de mettre mon tampon bien imbibé dans la bouche de sa filles et de coller la serviette sur ma bouche et mon nez et de la maintenir avec un bâillon. Le goût ferreux et poissonneux me dégoutte, j'ai des hauts le cœur et elle aussi.

.Il me fait jouir la tête plongée dans la couche usagée et pleine de pisse du début, en me sodomisant jusqu'au coït. Je suis avachie sur le sol, je les regardes essoufflée et incapable du moindre mouvement.


Je le vois, se diriger vers sa fille, qu'il attrape et porte debout chacun de ses cuisses serrée à ses hanches.


"Tu as envie que je t'engrosse ma fille hein? Tu as envie d'être enceinte de ton papou?

Oui mon papa, je veux que tu me foute en cloque...

Tu aime la queue a papa en toi et ses doigts dans le fion?

Oui papa, tu as la meilleure queue! Est ce que mon minou est aussi bon celui de maman?"


Pendant demie heure j'ai entendue leurs échanges incestueux écœurant, et l'excitation remonte. Il jouit au fond de sa chatte. Me regarde, le corps qui se dandine, pas totalement repu. Il fait le tour des lieux pour trouver l'idée du siècle. Tilt il sait d'un seul coup et s'agite dans tous les sens.


Je le vois remplir en saladier de lubrifiant entier. il m'attache les poignets aux menottes d'un des mur, il remonte mon cul sur un petit marche pied afin de le relever et le diriger plus offert. Il fixe mes chevilles au sol de la chambre et il demande à sa fille de s'accroupir sur mon buste demie assis, la vulve collée a mes seins, pour attraper les parois de mon vagin et les tenir écartée. Il donne ses consignes en enfilant un bonnet de bain sur ses cheveux.


Il vide le saladier sur son crâne et enfonce le plus possible de sa tête en moi. Sa fille rie, je suis déchirée, je hurle, en système de défense ma chatte gicle des torrent de mouille.






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