Coca dans le fion.

Romain passe prendre l’apéro À midi, l’ambiance et cool. Je me demande quand Même pour quoi Pedro a refusé que je m’habille et n’ose Pas bouger dans ma nuisette, trop courte et transparente.

Il y a un silence, Romain semble être dans la confidence mais attend quelque chose, le feux vert de mon homme peut-être. Pedro le brise d'un soupir et me demande d’un ton cassant et sans appel d’aller chercher une petite canette de coca au frais et de me la foutre bien au fond, dans la boîte à caca.

J'obéis, la chatte en feu.

Lorsque je reviens, il m’attend une belle bouteille de lub dans la main. Il m’attrape ma les hanches et me cambre, la tête en avant, poitrine écrasée sur le bureau.

Il écrase pose le tube de lubrifiant à l'entrée de ma rondelle pour remplir mon fion d’une grosse noisette et le rendre glissant.

“Romain, fourre lui!“

L’ami N’hésite pas une seconde et m’ouvre, La grotte, d’un mouvement lent et ferme. Mon homme me fait une clef de bras, pour retenir mes mouvement de fuite, je hurle de douleurs, c’est Affreux, puis je tente de me calmer, essaie de rester fière. Le mal se dissipe et laisse place à des ondes de chaleur et des picotement à l'entrée.

Une fois au fond il se barre sans un mot, je me pense hors d'attention, je me fourvoie totalement.

Je l’ai toujours dans le cul.

A présent, il se montre sévère et sans aucune pitié.

Il m’a pissé sur les seins, et les cuisses. Je suis maculé, brillante et odorante.

Je dois, face à eux, lécher les toilette pendant qu'ils torturent mes seins en enfonçant des baguettes chinoise dans ma chaire.

Deux heures, plus tard, il me demande d‘écrire Sur le blog la séance et d'informer qu'au point final, sa ceinture en cuir sifflera 15 fois pour mordre la peau blanche et fine de mon cul.

Je tremble en écrivant, partager entre peur et excitation, obsédée par la peur d'être une merde incapable et de les décevoir.

Quand à ma chatte elle se porte bien et coule abondement.